Table
Acoustique
Généralités
L'oreille Externe
L'Oreille Moyenne
L'oreille Interne
Voies
Notes

Notes

01- Les suppurations de cette cavité peuvent s’ouvrir dans le méat sans que le tympan soit perforé.

02- Le tympan serait plus sensible aux ondes sonores qu’il se rapproche davantage de la verticale.
C’est vers la paroi supérieure qu’il convient de diriger le jet d’eau quand on pratique le lavage du canal auditif externe, sans risquer d’endommager le tympan.

03- La perforation à ce niveau par décollement traumatique n’est pas cicatrisable.

04- L’infection transforme l’aspect du tymapn, il devient rouge en  cas d’irritation (myringite) & blanc nacré en cas d’otite scléreuse.
Son excavation s’exagère ou s’inverse selon qu’il s’agisse d’une obturation de la trompe auditive ou d’un épanchement dans l’oreille moyenne.
Sa mobilité peut disparaître en cas d’otite sèche ; il peut enfin être le siège de perforations.

05- Le tegmen tympani couvre, au niveau de la fosse temporale, une  aire étalée le long de la scissure pétro-squameuse.
La minceur de cette paroi (1mm d’épaisseur), fragilisée par de nombreux orifices vasculaires,  en fait une voie de propagation intracrânienne des suppurations de l’otite moyenne

06- Le ligament antérieur du marteau est tendu du col à la scissure de Glaser qu’il traverse à l’épine du sphénoïde.
En tant que reliquat de Meckel, il est souvent calcifié ou ossifié, au point d’avoir été considéré comme 3° apophyse du malleus (apophyse de Raw).

07- L’antre du nouveau-né est plus haut situé, presque au dessus de la voûte du conduit auditif externe.

08- Le conduit pétro-mastoïdien

09- Les liquides péri & endolymphatiques :

11-  Les noyaux cochléaires appartiennent plus au bulbe qu ‘au pont.

Les cellules globuleuses du noyau ventral se projettent sur le collicule inférieur via les noyaux olivaires supérieurs, ainsi que sur le noyau controlatéral du corps trapézoïde.
Ce dernier envoie des projections vers le noyau olivaire supérieur latéral du même côté avant d’aboutir au collicule inférieur.
Il en résulte qu’une lésion de la voie auditive située plus haut que les noyaux cochléaires  n’aura pas de conséquence sur l’audition, mais elle pourra perturber le sens de la localisation

12- Le corps trapézoïde est un faisceau de fibres transversales croisées, internucléaires, situé dans la moitié caudale du pont, au sein de la calotte pontique où il traverse le ruban de Reil médian.
Il est constitué par l’entrecroisement touffu de fibres transversales croisées & internucléaires émanant des noyaux cochléaires ventraux, des noyaux du corps trapézoïdes et ceux des complexes olivaires supérieurs. 

13-
* Le complexe olivaire supérieur ou pontique est situé dans la portion ventro-latérale de la calotte du pont,
en avant & en dedans du noyau du facial, en arrière & en dehors du lemniscus latéral. Il est fait de deux olives.
Chaque olive est faite d’une lame de substance grise plissée, ouverte en arrière  et en dedans par un hile qui livre passage dans les deux sens à des fibres à direction transversale.
Celles-ci constituent la médullaire, entourée par des fibres verticales qui constituent la capsule olivaire.
* L’olive latérale reçoit les influx d’origine exclusivement homolatérale.
* Par contre, les connexions de l’olive médiale sont plus développées. En effet,   elle  possède un contingent de cellules bipolaires dont les expansions sont orientées horizontalement.
Cette  particularité spatiale interviendrait dans les processus d’interprétation des nuances interaurales quant à la localisation de source sonore. De plus, elle est en étroite relation avec :
- son homologue du côté opposé,
- les voies auditives par l’intermédiaire du corps trapézoïde, &
- avec la motricité de l’œil via le noyau du VI.
La multiplicité des connexions bilatérales fait de l’olive médiale un centre d’intégration des informations relatives à la localisation de la source & à l’appréciation des nuances sonores.

-  Les neurones du noyau olivaire médial sont de type bipolaire. Leurs prolongements dendritiques sont organisés en touffes orientées horizontalement.
Les dendrites latérales font synapses avec les fibres issues du noyau cochléaire homolatéral, tandis que les dendrites médiales entrent en contact avec les fibres émanant du noyau controlatéral.
Cette architecture spatiale serait à la base de la perception de la source sonore sur la base des caractères physiques (phase & intensité) du son perçu.


Sch.65

* Le noyau du corps trapézoïde

* le noyau du lemniscus latéral est un amas nucléaire mal condensé et diffus dans le segment mésencéphalique du faisceau acoustique, à la hauteur du triangle de Reil.

* Le collicule inférieur est fait d’une couche superficielle de substance blanche (stratum zonale) dont la plupart des fibres se dirigent vers le bras conjonctival inférieur.
Elle entoure le noyau colliculaire inférieur dont le versant médial est au contact de la substance grise de l’aqueduc de Sylvius. On y distingue trois groupes cellulaires :

  1. le groupe central formé de cellules multipolaires connectées avec les fibres du faisceau acoustique ;
  2. le groupe de cellules étoilées, latéral, situé sous le bras conjonctival inférieur ; &

     -    le groupe médian & impair, dénommé groupe des noyaux tectaux en raison de sa situation, dans l’épaisseur du toit du mésencéphale, interposé entre les collicules inférieurs.

14- Le corps géniculé médial est le centre d’intégration des voies auditives où s’effectue le décodage des sons en phonèmes.
D’aspect sphérique, il est accolé au flanc de la partie supérieure du pédoncule cérébral où il est sous-jacent au bras conjonctival supérieur.
Il reçoit par son extrémité antérieure la racine interne de la bandelette optique dans laquelle sont contenues les fibres de la commissure de Gudden.
L’extrémité postérieure se continue par le bras conjonctival inférieur qui l’unit au collicule correspondant.
Il est fait de trois complexes nucléaires : ventral, dorsal & médial.

  1. les afférences ayant transité par le collicule inférieur se terminent dans le noyau ventral dont la structure laminaire se prête à l’organisation topique des sons.
    Ainsi les hautes fréquences aboutissent aux noyaux médiaux, tandis que les sons de basse fréquence se terminent dans les noyaux latéraux.  
    C’est de ce complexe ventral que partent les radiations auditives qui gagnent le cortex temporal auditif primaire (aire 41).
  2. Le noyau dorsal est un relais associatif, il reçoit des afférences du collicule supérieur & de la région dorsale de la calotte mésencéphalique.
  3. Il en est de même du noyau médial qui reçoit des afférences en provenance du collicule inférieur & de la moelle épinière.
    Il constitue d’autre part la composante magno-cellulaire du corps géniculé médial.

Les deux corps géniculés médiaux sont interconnectés à travers la commissure de Gudden, faisceau de fibres accolé à la face postérieure du chiasma optique.
Elle réalise une projection croisée sur l’aire auditive de chaque hémisphère de l’information auditive recueillie par les récepteurs de Corti des deux côtés.

15- C’est le centre cortical ou aire auditive située au niveau du lobe temporal & la région rétro-insulaire où a lieu l’analyses des sensations & l’interprétation des caractères physiques des sons.
On admet que les sons aigus sont enregistrés dans la partie la plus interne du gyrus transverse, tandis que les sons graves le sont dans la partie la plus externe et sur la lèvre inférieure de la scissure de Sylvius.
Le centre cortical de l’audition correspond au champ supra-temporal de l’écorce cérébrale (aire 41 & 42), il est du type granulaire & constitue le koniocortex auditif.
D’autre part, les dimensions & l’aspect de cette aire corticale sont très variables  d’un hémisphère à l’autre. Le gyrus transverse est habituellement plus étendu à droite, tandis que le planum temporal est plus développé à gauche.
Cette dissymétrie serait liée à la latéralisation du langage.
Enfin, il est à noter qu’au-delà du collicule inférieur la voie auditive comporte deux faisceaux de fibres à disposition concentrique ;
le faisceau central se projette sur le cortex auditif primaire qui correspond grossièrement au gyrus de Heschl, tandis que le faisceau périphérique recouvre l’aire du planum temporal,
aire comprise entre le gyrus transverse & l’extrémité de la fosse sylvienne. Chaque faisceau a ses propres relais au sein du collicule & son prolongement brachial.

 

16- La substance réticulée du tronc cérébral est faite d’une trame de fibres au sein de laquelle sont éparpillés des micronoyaux de substance grise.
Elle est située derrière les grandes voies de conduction du névraxe.
Elle occupe :

  1. au niveau du mésencéphale l’aire quadrilatère située entre les collicules & la substance grise centrale en arrière et le lemniscus médian en avant.
  2. au niveau de la protubérance, la partie comprise entre la substance grise sous-épendymaire et le lemniscus médian qui la sépare des fibres transversales ponto-cérébelleuses ;
  3. au niveau du bulbe, entre les noyaux des nerfs crâniens en arrière, l’olive bulbaire et son faisceau olivo-cérébelleux en avant, le noyau du V & sa racine descendante en dehors, et le raphé médian en dedans.

 Parmi les condensations nucléaires les mieux systématisées, on décrit :
- le noyau accessoire de Bechterev situé derrière le noyau rouge ;
- le noyau dorsal de la calotte (de Gudden) sous le plancher à la jonction ponto-mésencéphalique ; &
- les noyaux sous épendymaires du 4° ventricule.

De ce complexe réticulo-nucléaire partent :
- des fibres arciformes qui se mêlent à celles du lemniscus latéral, &
- des fibres descendantes qui participent à la constitution du faisceau réticulo-spinal.

17-

  1. Le réflexe musculo-acoustique se traduit par un sursaut ou un mouvement brusque en réponse à un bruit  soudain & intense ; il en est de même du
  2. réflexe audio-palpébral qui se traduit par un fort clignement des paupières,
  3. le réflexe audio-oculogyrique se traduit par la déviation des yeux vers la source sonore ;
  4. le réflexe cochléo-pupillaire se manifeste par la mydriase ou (myosis suivi de mydriase) en réponse à un bruit intense ; enfin
  5. la formation réticulée intervient dans la régularisation des centres sous-jacents, mais aussi

      par ses projections diffuses thalamo-striées, elle participe à l’attention auditive & règle les
      mouvements cépahlogyres permettant l’orientation des oreilles externes

18- Quelques notes de Physiologie de l’Audition

* L’énergie engendrée par les vibrations sonores est transmise à travers la fenêtre ovale à la rampe vestibulaire, puis à la rampe tympanique obturée à l’autre bout par la fenêtre ronde.
L’ébranlement énergétique de l’endolymphe retentit sur les récepteurs par l’intermédiaire de la membrane basilaire ;
il s ‘en suit le frôlement des cils par la membrana tectoria suivi d’un changement du potentiel cellulaire qui stimule les neurones du ganglion spiral.

* Les travaux du hongrois   von Békésy (qui lui ont valu Prix Nobel de Médecine 1961) ont montré que le comportement vibratoire de la lame basilaire varie graduellement entre la base & la coupole,
et ce, en fonction de la fréquence du son, les hautes fréquences agissent principalement sur la portion initiale de la lame, tandis que les sons graves font vibrer le segment apical.

* Malgré la disproportion en nombre entre les deux groupes de récepteurs, les 9/10° des fibres nerveuses cochléaires véhiculent les informations issues du groupe cellulaire médial.
Les cellules latérales interviendraient comme amplificateur des potentiels d’action induits par l’ébranlement de la membrane basale.

* Grâce à leurs propriétés contractiles, ces cellules se comportent tel un syntoniseur (tuner), elles contrôlent la réponse de l’organe de Corti en modulant le frôlement des stéréocils des récepteurs médiaux par la membrana tectale.
Cette importante fonction est sous la dépendance du noyau olivaire pontique par lequel transitent les rameaux efférents. 

*Le traitement cortical des informations auditives :
 Le son peut être entendu quand les influx aboutissent au cortex de à l’aire 41, cependant les processus de discrimination nécessitent une rectification des modèles temporaux s’effectuent au niveau des aires 42 & 22.
La détection de la source sonore a lieu au niveau du complexe olivaire pontique & collicule inférieur, mais le repérage précis ainsi que
l’appréciation des nuances nécessite le concours des aires d’association & du cortex pariétal postérieur inclus.

* La grande majorité des fibres du lemniscus latéral ont subi une décussation. Ainsi, chaque faisceau véhicule les stimuli auditifs issus des deux oreilles.
Une lésion des voies auditives droites ou de la circonvolution temporal transverse droite, élimine une partie des influx issus des deux oreilles, mais n’interfère pas avec les influx aboutissant à l’hémisphère gauche.
La surdité d’une seule oreille signifie donc une atteinte du nerf cochléaire, de la cochlée, ou de l’appareil de transmission de l’oreille moyenne du même côté.
D’autre part, on connaît les effets toxiques portant sur l’organe de Corti par certaines substances, notamment les aminoglycosides (gentamycine, tobramycine, néomycine) & les salicylates.

* Le noyau olivaire intervient dans le processus de localisation du côté de la source sonore. 
Ainsi, un son provenant d’une source située à gauche atteint l’oreille gauche un laps de temps plus tôt que la droite. De plus, du point de vue fréquence, le son du côté gauche est plus intense de ce côté.
La localisation du côté d’où provient le son est question de comparaison du moment de sa perception & de son intensité. La comparaison du temps d’arrivée du son fait intervenir le noyau olivaire médial qui est sensible aux basses fréquences.

* Déficits de conduction par voie aérienne ou osseuse.
- La distinction entre la surdité sensorielle de la surdité par conduction est basée sur des tests (de Weber ou de Rinne) par l’usage d’un diapason (512 ou 256 Hz).
- L’audiométrie affine les tests en utilisant des sons purs à fréquence contrôlée.
- Les potentiels évoqués du tronc cérébral sont enregistrables par électrodes appliquées sur le crâne.

- La surdité de conduction se manifeste par une atteinte de la transmission aérienne comparée à la transmission osseuse.
Elle se développe habituellement avec la maladie de Ménière, à la suite d’un trauma, d’intoxication, d’infection, du vieillissement des structures ou suite à une sténose de la trompe.
Le déficit par conduction peut être le fait d’un bouchon de cérumen, d’une otite ou d’une ostéosclérose.
- La surdité neurosensorielle se traduit par l’atteinte des deux voies de transmission.
La plupart des surdités de conduction affectent les basses fréquences, tandis que l’atteinte neurosensorielle porte sur les hautes fréquences.

19- Exploration Clinique

L’atteinte du nerf cochléaire se manifeste par des troubles subjectifs, soit par une baisse de l’acuité auditive.
le phénomènes irritatifs : les acouphènes (bourdonnements, tintements, bruits de cloches) sont le reflet de l’irritation de l’oreille interne ou du VIII.
Un déficit de l’audition (hypoacousie ou surdité)
La transmission des sons se fait par voie aérienne & voie osseuse.
* La voie aérienne est  appréciée en tenant compte de :

  1. la voie haute est perçue à 50m, le chuchotement à 5m ;
  2. le tic tac d’une montre s’entend normalement à 1m ;
  3. l’épreuve du diapason, permet d’explorer le champ auditif compris entre 16 &20 000 vibrations doubles (VD) à la seconde. L’acuité est appréciée par la durée de perception du diapason.
  4. L’audiomètre produit des sons purs dans leur intensité & tonalité. L’audiométrie tonale liminaire permet  consiste à délimiter le seuil auditif, c’est à dire l’intensité de son minimum perceptible pour une série de fréquences données.
    Une courbe (audiogramme) est ainsi construite. On utilise la gamme des fréquences du grave à l’aigu (de 125 Hz à 16000 Hz) & plus particulièrement les trois fréquences de 500, 1000, 2000 (512, 1024, 2048 Hz)
    les plus fréquemment utilisées dans la conversation.

* la conduction osseuse est explorée par :
- la montre appliquée contre la région temporale, la mastoïde & le front ;
- le diapason, de préférence le 128 VD :
  - l’épreuve de Schwabach : la durée de perception du diapason placé au vertex est normalement de 20s. 
Elle est allongée en cas d’atteinte de l’appareil de transmission (l’oreille moyenne) ; ou bien raccourcie par lésion de l’appareil de perception (l’oreille interne).
  - l’épreuve de Weber, le diapason vibrant étant placé sur le vertex, le son est perçu normalement également par les deux oreilles.
En cas de surdité unilatérale, le son se latéralise du côté malade s’il s’agit d’une lésion de l’oreille moyenne ( ?)  ou du côté sain s’il y a lésion de l’oreille interne.
  - l’épreuve de Rinne est basée sur la durée de la conduction aérienne & de la conduction osseuse qui normalement est moins longue.
Le diapason 128 appliqué sur la mastoïde est normalement perçu  pendant 20s ; placé ensuite contre le canal auditif interne, le son doit être perçu encore 40s environ.
Le coefficient de Rinne = PA40/PO20. Le Rinne est positif s’il y a lésion de l’oreille moyenne, le patient n’entend pas le diapason au moment où il est placé devant l’oreille.
Le Rinne est dit négatif en cas de lésion de l’orielle interne, les deux facteurs étant diminués dans les mêmes proportions, le Rinne peut rester positif.


La protection périphérique:
à partir d’informations cochléaires, les centres comprenant le noyau dorsal, lenoyau olivaire supérieur, la réticulée & le collicule inférieur règlent la contraction des muscles de la caisse par l’intermédiaire des noyaux du V & du VII. La contraction des deux muscles améliorent la réception des sons de fréquence & d’intensité élevées, celle du muscle stapédien des sons de fréquence basse & d’intensité élevée, & celle du tenseur du tympan  les sons d’intensité moyenne & de fréquence élevée.


La protection centrale :
la cochlée est protégée par le réflexe ossiculaire. Cette protection  a lieu au niveau de la synapse sensori-dendritique par l’intermédiaire des fibres efférentes cochléaires qui inhibent la transmission. Cette inhibition a lieu aussi au niveau des différents centres des voies auditives d’où partent des fibres descendantes vers les noyaux cochléaires, réalisant un circuit de rétroaction  modulant le passage des informations  sensorielles dans les centres primaires.
Enfin, la réticulée régule le fonctionnement des centres sous-jacents, ainsi que par ses projections thalamo-striées, elle participe à l’attention auditive & règle les mouvement céphalogyres permettant l’orientation des oreilles.

 

Sch.64



Les reflexes auditifs
Ouitre leurs rôles de relais sur les voies auditives, les  noyaux disséminés dans le tronc cérébral sont des centres réflexes.  C’est ainsi que :
les efférences issues des noyaux cochléaires établissent des connexions avec le système réticulaire activateur ascendant à partir duquel se constituent deux importantes voies réflexes :

-  La  projection de l’information auditive vers le cervelet est réelle, elle provient directement des noyaux cochléaires, et indirectement du cortex audit tif par l’intermédiaire de la voie tecto-pontine.

(fig. 66)